60 Millions de consommateurs a identifié un risque pour la santé associé à certaines huiles d’olive et a publié une liste des marques à éviter.
Au cœur des pratiques culinaires françaises, les huiles d’olive se révèlent être bien plus qu’un simple ingrédient, incarnant le symbole d’un mode de vie sain et équilibré. Toutefois, face à une multitude d’options disponibles sur le marché, choisir le produit optimal peut poser un défi. Cette enquête menée par 60 millions de consommateurs nous offre l’opportunité de prendre des décisions éclairées.
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Certaines huiles d’olive qui se prétendent saines dissimulent un danger inattendu
Parfois, nous nous interrogeons sur la qualité des produits que nous utilisons au quotidien. L’étude menée par le magazine 60 millions de consommateurs a mis en lumière une réalité troublante concernant nos choix en matière d’huiles d’olive. Cette association, réputée pour ses résultats fiables, a attiré notre attention sur la présence d’hydrocarbures provenant d’huiles minérales dans certaines huiles d’olive.
Ces hydrocarbures, divisés en deux familles nommées MOSH et MOAH, sont inquiétants en raison de leurs propriétés cancérigènes et génotoxiques. Il est alarmant de constater que cinq des huiles d’olive examinées contenaient ces substances à des niveaux atteignant environ 2 mg/kg.
Parmi les marques incriminées figurent la “Vierge extra” de Simplement bon et bio (Aldi), la “Vierge extra classico” de Carapelli bio, ainsi que la “Vierge extra” de Bio Village (marque repère E. Leclerc). Cela soulève un appel à la vigilance concernant nos choix d’huiles d’olive.
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Des agents plastifiants nocifs dans leur composition
L’enquête de 60 millions de consommateurs met en lumière une menace inquiétante qui émane de nos cuisines domestiques. Quatre autres marques d’huile d’olive, généralement perçues comme saines, se révèlent contenir des traces des deux phtalates les plus préoccupants.
Parmi ces marques incriminées figurent Naturalia avec son produit “Vierge extra Like a Virgin” et Terra Delyssa avec son huile “Vierge extra”. Les références Vie Claire avec son huile “Vierge extra” et Cauvin bio avec “La bio” sont également concernées. Cette découverte sonne comme une alarme rouge pour tous les amateurs d’huile d’olive ! Ce qui est particulièrement révélateur, c’est que ces huiles contiennent entre 1 et 3 plastifiants.
Ces substances, bien que difficiles à prononcer, présentent un risque direct pour la santé, pouvant même altérer la fertilité. Parmi ces plastifiants figurent le diéthylhexyl phtalate (DEHP) et le di-isononyl phtalate (DINP), tous deux impliqués dans cette situation. Le DINP, utilisé comme additif plastique pour accroître la souplesse, est détecté dans ces huiles d’olive qui semblaient a priori sans danger.
Les choix privilégiés en matière d’huiles d’olive par le magazine
Préparez-vous à être surpris par une découverte inattendue : l’huile d’olive vierge extra Primadonna de Lidl, vantée comme la meilleure du marché par 60 millions de consommateurs.
Malgré son absence de label bio ou d’appellation renommée, elle surclasse ses concurrentes. Son prix modeste de seulement 6,99 € le litre la rend accessible à tous les budgets, ajoutant à son attrait. Cependant, une autre option mérite également l’attention : l’huile d’olive de Provence Reflets de France de Carrefour, qui se classe deuxième dans le classement général.
Bien que son prix soit plus élevé, à 31,30 € le litre, chaque goutte de cette huile française semble justifier son coût. En fin de compte, le choix entre ces deux options revient à chacun en fonction de ses préférences et de son budget.
